L’appartement témoin

samedi 19 novembre 2011
par  jackie
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Un homme de 55 ans, fraichement divorcé, a un coup de cœur pour un grand appartement blanc, vitré, avec une mezzanine, Rive Gauche. Un appart branché, un appart de golden boy. Il savoure ses week-end passés avec sa fille adorée, Camille. Mais depuis qu’il a divorcé il ne baise plus, fini, plus envie. Alors que ce sont ses aventures répétées qui l’ont conduit au divorce. A 36 ans, il s’était marié, parce qu’il avait peur de finir seul, avec un beau parti, une bourgeoise un peu rigide. Une épouse qui s’était résignée, mais qui avait fini par demander le divorce, avant qu’il ne soit trop tard.

Mais voilà, il dort mal, et d’étranges phénomènes se produisent. Des apparitions : une jeune femme au piano, chanteuse lyrique et une petite fille à ses pieds, qui le regarde fixement de son regard d’adulte. D’abord incrédule, il va se mettre en quête de ces fantômes. Son enquête va le mener aux Etats-Unis, en Angleterre, en Italie. Il va se mettre à apprécier l’opéra, l’art. Cette quête va le bouleverser, le secouer, lui redonner le goût à la vie. Mais sa quête tourne à l’obsession quand il tombe amoureux de la « petite fille » devenue une magnifique jeune femme.


Commentaires

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lundi 21 novembre 2011 à 23h38 - par  jackie

J’avais été attirée par cet auteur suite au film "Elle s’appelait Sarah", film que j’ai bien aimé. Alors j’ai choisi un autre bouquin, "L’appartement témoin". Mais comme vous, j’ai été très déçue. Cette histoire d’homme divorcé qui découvre la vie sur le tard, c’est bateau, ou en tout cas c’est daté. Daté des années 80 : les décors, les personnages, les expressions, les comportements. C’est plein de clichés.

Et cette histoire d’apparition, de "mémoire des lieux" (qui revient souvent chez cet auteur paraît-il), qui ne sert que de prétexte à sa quête de jouvence ou plutôt de jeunesse éternelle, franchement, elle aurait pu faire plus simple. C’est abracadabrantesque et ça n’apporte rien.

Et Vous, avez-vous lu ce livre ? Avez-vous un commentaire ? Sinon, n’hésitez pas à nous faire parvenir votre résumé sur "Elle s’appelait Sarah", nous serions ravis de le publier.

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dimanche 20 novembre 2011 à 12h34 - par  webmestre

De Tatiana de Rosnay, j’ai lu "Elle s’appelait Sarah", que je n’ai pas beaucoup aimé : Une jeune femme d’origine américaine qui vit en France, mariée à un français, il la délaisse quelque peu, va emménager dans un appartement parisien. Elle s’ennuie un peu à en refaire la décoration... Et voilà t-il pas qu’elle découvre l’histoire des habitants de cet immeuble ; cet appartement appartenait à une famille juive victime de la rafle du Vel’d’hiv.
A partir de ce moment on oscille entre la tragédie des enfants déportés(la petite Sarah) et la vie de cette femme qui mène ses recherches, se heurte à sa belle famille qui lui déconseille de remuer le passé.
C’est "nian-nian", assez cliché, les françaises qui fument et s’occupent principalement de leur apparence, l’américaine sportive, tout cela en parallèle du drame de la déportation, le courage d’une enfant de 10 ans, une concierge qui ne s’apitoie pas du tout lors de l’arrestation des juifs... C’est un truc à faire pleurer dans les chaumières.

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