L’origine de la violence
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Première partie : un jeune professeur de français, a l’occasion d’un voyage scolaire, découvre dans le camp de Buchenwald une photo d’un détenu ressemblant de façon troublante a son père. Intrigue totale, car le grand père officiel est encore bien vivant. Recherche. Découverte de l’histoire personnelle : une grande histoire d’amour en marge d’une vie sociale établie : une femme, deux hommes, le mari, établi, l’amant, beau, mais juif. Decouverte aussi de l’horreur des camps, de la violence pure qui s’est déchainée, destructrice des hommes, tant les violents que les suppliciés.
Deuxième partie : vivre avec cette connaissance n’est pas simple. Alors écrire, pour chasser le démon, raconter cette histoire, dire ce mal, ces doutes sur la filiation, sur l’histoire de la famille. Mais cela réveille des souvenirs, un passé que beaucoup, dont le père préféraient laisser là ou il est, dans l’oubli. Même Sophie, cette jolie Allemande rencontrée a l’occasion de ces recherches, préfère que l’histoire de son pays, et de sa famille ne soit pas remise au jour. Vivre avec la connaissance est finalement plus difficile que le confort de la naïveté. Est-ce cela qui gênerait tellement de violence dans le monde Nazi, savoir qu’on fait le mal est-il finalement la cause de cette violence qui s’est déchainée à Buchenwald ?
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