La liberté éternelle

mardi 23 août 2005
par  Sylvain
popularité : 3%

Aprés des centaines d’années de guerre (cf "La guerre éternelle"), c’est la paix entre Tauran et Homme. Chacune de ces civilisations est devenue un être unique composé de nombreux individus, aucune des "personnes" n’ayant franchement d’individualité propre.

Fonction de leur éloignement au moment de la déclaration de paix, les combattants reviennent petit à petit des divers théatres d’opération, et utilisent un vaisseau relativiste pour se retrouver tous au même moment.

Ils ont alors le choix entre devenir des "personnes" de Homme, et perdre leur individualité, et vivre sous le contrôle de Homme et de Tauran sur une planéte éloignée de la Terre.

Beaucoup font ce dernier choix, et s’y installent. Mais la vie sous le contrôle de "Homme" est difficiliement supportable, et quelques uns volent le vaisseau relativiste dans l’espoir de faire un voyage qui les emménera très loin dans le futur.

Lors de ce voyage, le carburant disparait, ce qui les oblige à revenir à leur point de départ. Une vingtaine d’années s’y sont écoulées.

Tous les habitants, humains, Hommes et Taurans ont disparus.

Après un voyage sur la Terre, ils découvrent que l’univers tel que nous le connaissons n’est en fait qu’une expérience menée par une race infiniement supérieure aux Humains et Taurans.


Commentaires

Logo de sylv1
mardi 23 août 2005 à 19h31 - par  sylv1

Tout le début du livre est très sympathique, le retour et la vie de ces anciens combattants semblent crédibles, les problèmes de réadaptation à une vie civile et sexuée sont dans la lignée du tome précédent.

Mais la chute, avec l’intervention de deux nouvelles races, l’une qui observe, l’autre qui maitrise le réel tel que nous le percevons, est décevante par rapport à tout le reste. Elle améne un plus un petit côté "mystique" assez peu en rapport avec le reste.

C’est dommage, car cet ensemble de deux livres est sûrement un des meilleurs ouvrages de SF sur les thèmes du décalage temporel relativiste et de l’absurdité de la guerre, avec tout un imaginaire très crédible.

Navigation

Mots-clés de l’article

Articles de la rubrique