Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi

dimanche 17 juillet 2011
par  jackie
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Joséphine a du mal à se remettre de la mort tragique de sa soeur, Iris. Son éditeur la pousse à écrire un autre livre car les gains de son premier succès, livre sur le 12ème Siècle, s’amenuisent. Vu le brouillard dans lequel elle se trouve, elle ne parvient pas à répondre aux avances de Philippe (l’ex-mari d’Iris), qu’elle aime pourtant éperdument.

Hortense, son aînée, étudie toujours la mode à Londres, plus ambitieuse que jamais, mais aussi toujours aussi antipathique, désinvolte, opportuniste, elle tente de décrocher des vitrines de chez Harrods. Avec Gary, c’est plus que jamais "Je t’aime, moi non plus". Gary, qui est à la recherche d’un père, au travers de son prof de piano, il veut également de faire la connaissance de son vrai père. Il décide d’entamer une carrière de pianiste : il est pris dans une prestigieuse école artistique à New York. Au moment de partir il lui demande de la rejoindre, mais elle ne recevra pas le texto.

Zoé, sa cadette, est en 2nde, et amoureuse de Gaëtan, le fils de l’homme qui a assassiné sa tante. Mais il a déménagé en province, après le drame qui a touché sa famille.

Shirley vit assez mal la quête d’indépendance et de Père de Gary. Dur de couper le cordon. Dur de retrouver une vie amoureuse, dur de former un couple avec un autre homme que son fils.

Henriette, la mère d’Iris et de Joséphine, divorcée de Marcel, n’a pas jeté l’éponge. Elle met au point des stratagèmes pour récupérer sa part du gâteau de la société de son ex-mari. Le fils qu’il a eu avec Josiane se confirme comme petit génie : il déclame du latin à l’âge de 2 ans. Ce qui plonge Josiane dans un profond désespoir, elle qui voulait cajoler un bébé, elle se trouve inutile, entre un mari très aimant mais très occupé, et un fils qui la dépasse complètement.


Commentaires

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samedi 30 juillet 2011 à 00h11 - par  jackie

C’est pire que le précédent "La valse lente des tortues". Les personnages sont toujours aussi stéréotypés, voire grotesque (le petit Junior) qui, à 3 ans, parle comme un vieux sage de 80 ans. Et les évènements, qui arrivent comme par magie, pour servir une histoire, facile, et une fin qui va bien, toujours aussi manichéenne ; les gentils finissent bien, les méchants pas bien. L’auteure rallonge la sauce, au point d’en faire 930 pages (en poche).

Alors pourquoi lit-un des bouquins comme ça ? A part pour se prouver qu’on arrive à avaler 930 pages, à part avoir l’impression de maîtriser les techniques de lecture rapide (parfois 2 ou 3 mots par page suffisent pour comprendre). Et bien c’est comme pour les séries TV : on a adoré les 1ères saisons, les dernières sont pourries, on sent que le scénariste est à cours d’idée, mais on les regarde quand même, juste pour savoir la suite.

C’est un vrai bouquin d’été. Quand on n’a pas, mais alors vraiment pas envie de se prendre la tête. Ca ressemble à un gros bonbon, un chamallow, sans aspérité, mais un peu écoeurant tout de même.

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