Le Syndrome de l’éléphant

vendredi 17 octobre 2008
par  Sylvain
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Launay et Jocelin sont deux cambrioleurs très bien organisés. Avec Jocelin, jamais de soucis. Tout est sous contrôle. Avec Launay, la vie est simple. Jusqu’au jour ou tout dérape, un inconnu fait irruption pendant le cambriolage, Jocelin le tue.

Et Launay pense très fort à s’enfuir, à quitter Jocelin. Celui-ci ne le supporte pas. Il abandonne Launay, et se fait volontairement tuer.

Pour Launay, la vie continue, faite de larcins et de petits vols. Jusqu’à ce qu’une voix le guide avec certitude pendant toutes ces opérations. Le guide avec une totale fiabilité. Tellement de fiabilité que Launay devient un expert des cambriolages difficiles.

Ce qui excite les convoitises...


Commentaires

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vendredi 17 octobre 2008 à 22h10 - par  Sylvain

Les deux premiers opus que j’ai lu de cet auteur (Meddik et La lumière des morts) avaient au moins en commun une bonne qualité de style et de l’imagination. Sombre, certes, mais suffisante pour nous emmener dans le rêve (ou cauchemar) de l’auteur.

Ici, il reste le style, et le côté sombre et désespéré. Mais par contre, l’imagination a disparue. Il ne reste qu’une vague histoire de personne lisant les pensées, et qui revient après sa mort pour aider (ou rendre fou) un ex-ami. Avec toutes les convoitises qu’une telle capacité peut générer.

L’histoire est donc assez commune, et, si l’ensemble n’est pas désagréable, c’est quand même assez décevant pour cet auteur.

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