Etoiles mourantes
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Livre écrit en collaboration avec Ayerdhal.
Dès qu’elle a pu maitriser les déplacements spatiaux lointains, l’humanité s’est scindée en 4 rameaux : la fédération originelle, dictature dans laquelle les morts, sous forme de simulations numériques, ont encore le droit de vote, les mécanistes, obnubilés par le combat et la domination, les artefacteurs ou organiques, douce utopie d’individus férus d’individualisme, et les connectés, qui disolvent leur individualité dans l’échange informatique constant dans lequel ils baignent.
Cette possibilité de voyage a été amené à l’humanité par d’étranges entités, les AnimauxVilles, sortes d’immenses corps, intelligents, capables de créer à l’intérieur d’eux-même les condition d’une vie confortable pour les humains, et par ailleurs, de se promener dans limites dans l’intégralité de l’univers en utilisant le chant de balises régulièrement espacées.
Il va sans dire que cette possibilité de séparation a tout de suite été utilisée par les humains pour se séparer les plus radicalement possible, et, pour chaque communauté, ne plus voir dans les autres rameaux qu’un ramassis d’être peu fréquentables.
Les AnimauxVilles ont invité des représentants de chacun des rameaux à assister avec eux à la mort d’une étoile. Chaque rameau s’y prépare comme il le peut : avec souffrance pour les connectés, obligés d’envoyer une délégation à l’égard du babil du groupe, avec envie pour les mécanistes, certains de pouvoir en profiter pour asservir l’ensemble de la race humaine et les AnimauxVilles, avec espoir pour les organiques, et presque par hasard pour la Fédération Originelle, totalement refermée sur elle-même.
Mais la jeunesse de chacun des rameau à besoin d’idéaux, d’idées à défendre, et grâce aux AnimauxVilles, c’est effectivement une renaissance qui sort de la mort de cette étoile.
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